Tagada's Team

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Lino de Martin

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8H30 Chargement de la voiture avec Dany, Hugo et Lino


9H17 arrivée et départ à Saint Etienne du Rouvray non loin de celui de l'Oxybike

Au bout de 200 m premier mauvais aiguillage. Je me suis trompé à cause de la trace qui était faite en sens inverse lors de l'Oxy.
On entre dans la forêt. On y trouve des singles tracks larges avec des petits bacs à sable assez chiant à passer.
A Petit Couronne, au km 3, je repère l’intersection du retour du parcours.
Beaucoup de grandes lignes droites en faux plat montant.
Encore une erreur d’aiguillage où il fallait passer sous la route plutôt qu’au dessus au km6. Au km7 rebelote, heureusement Hugo se souvient bien de cette pénible côte que l’on va maintenant descendre.
On traverse un lotissement pour prendre une côte goudronnée qui nous mènera à une large route forestière bien roulante. La trace bifurque d’un coup, sur la droite en descendant à travers les branches, pour y rejoindre un chemin ludique le long de la ligne ferrée.
On en ressort pour grimper sur du goudron au niveau de l’ancienne gare de Moulineaux.
Au km12 on prend un chemin qui grimpe, qui grimpe…
Un fois passé sous l’autoroute on tourne dans un sentier qui serpente entre les arbres jusqu’au château Robert le Diable au km15.

10H32 Château Robert le Diable, petite pause de 0H30.

Quelle surprise. Le site est déserté. On enjambe le grillage, ça pique un peu, et ho stupeur tout est brûlé, cassé, vandalisé.
J’ai lu sur le net que depuis le 1e octobre 2003 le Château Robert le Diable a fermé ses portes. C’était pourtant une halte touristique assez connue dans la région.

Une grille en fer nous empêche d’accéder à la cour intérieure. Les autres accès sont murés. Je me souviens d’un souterrain et là on peu accéder, à travers les tunnels creusés dans la roche, au centre du château.

On visite la reconstitution du Drakkar et on grimpe sur la plus haute tour avec grande précaution vu la vétusté de l’ensemble.

Quelques photos et on repart en ayant conscience du gâchis qu’est devenu ce site.

On poursuit sur un chemin large qui nous mène au km17 à une cote plus apparenté à un mur. Dany sens des crampes dans le mollet pendant la grimpette. On repère sur la droite une contournement qui devrait permettre au plus habile de ne pas descendre du vélo.

A l’échangeur de la maison brûlée on descend par la route jusqu’à la Bouille. C’est presque du parachutisme et Dany a bien faillit se mettre au tas dans une courbe. Ca sent pas bon des freins qui chauffent… On contemple les jolies maisons du village et on rejoint Caumont par les bords de Seine et ses villas somptueuses.

11H37 Caumont, pause de 1H30.

Je dis : « au calvaire à gauche, puis à droite de la maison avant la courbe » et là c’est le choc ! Les grottes sont tellement grandioses que l’on entre facilement dedans à VTT. Pour accéder au site de l’usine allemande on traverse une jungle. On a l’impression d’être dans un pays tropicale où la nature a repris ses droits.
La progression est impossible autrement qu’à pieds, encore faut-il avoir de bonnes chaussures… Soudain une fraîcheur envahit la lourde atmosphère. L’entrée est proche.

Un grand mur percé de fenêtres nous fait face. On entre, on installe les lumières et on visite.

J’ai du mal à me repérer et après quelques temps j’arrive à retrouver la rivière souterraine. J’appelle les camarades qui se guident avec la lumière. On se déchausse, on abandonne les vélos pour remonter la rivière en pataugeant dans son lit. Hugo a les pieds gelés alors que Dany et moi trouvons cela supportable. Le boyau se rétrécit par endroit puis laisse place à des salles plus grandes. Quand la progression devient plus difficile on fait demi-tour. Entre temps Hugo parvient à se réchauffer les orteils.

Pas facile de remettre des chaussettes avec les pieds mouillés. On enfourche les VTT et on rejoint l’usine allemande. Lors d’une petite grimpette, Dany se fait stopper net par une grosse pierre et tombe sur le flanc la tête percutant la roche. Vive le casque, un peu étourdi il s’en sort avec seulement deux gouttes de sang sur le coude. Il nous a fait super peur. En fait il ne se sent pas bien. Il était comme étourdi bien avant sa chute. Quelque instant plus tard il se coince le pied entre deux rochers. Peu être un manque d’oxygène ou l’émotion que dégage les lieux ? De l’usine il ne reste qu’un long tunnel de béton à la proie des éboulements. On imagine encore très bien le chantier que cela devait être en son temps. Surtout après avoir visité ce site.

13H03 Reprise de la route

On range le matériel et on ressort des grottes.

Pouaf, la lourdeur du climat nous envahit de nouveau.

On continu à longer la Seine en recherchant un chemin sur la droite. Pas de chemin alors on décide de progresser encore 200m avant de faire demi-tour. Il y a une percée à droite d’une grille cadenassée. On prend le chemin privé, ok c’est le bon endroit. C’est calme, voir étrange, on enjambe des chablis et l’on voit des ruines/grottes. Arrivé en haut, je suis attiré par un barbelé qui n’a pas sa place en pleine forêt. Je descends du Kona en invitant Dany et Hugo à me rejoindre. Un trou énorme d’une vingtaine de mètres est à nos pieds. C’est le résultat d’un effondrement de grotte. Une arche du style de celle d’Etretat s’est formée comme à coté de l’entrée de l’usine. On continu sur un chemin tracé au cordeau pour arrivé au Randoparc. On continu sur le chemin qui redevient le GR 23 qui se termine encore en saut de parachute goudronné avec ses 12.5% de pente en moyenne.

13H53 Bac de La Bouille

Le Bac est là et il nous faut que 14 minutes pour aller sur l’autre rive. On emprunte le chemin de hallage, puis à droite un petit chemin piègeux au bord d’un ru qui nous placera devant le manoir de Marbeuf. On visite la cour avec Dany, heum il y en a dans la région qui se torche sûrement avec de la soie… J’essaye de suivre le tracé du GPS qui nous fera traverser un champ de maïs. On retrouve rapidement un chemin plus conventionnel. A l’entrée du Val de La Haye, je perds du temps à rechercher un chemin qui n’existe plus. On redescend sur les quais de Seine et là malheureusement le bac est parti.

14H56 Bac de Petit Couronne raté.

Il faut absolument se trouver à ce point avant 14H45, sinon on se prend une interruption de service de 0H45. Je décide donc d’aller sur Rouen qui n’est qu’a 11km. On le fera en mode route à environ 27 km/h de moyenne avec le vent de face. Curieusement, personne n’a pris le relais On passe devant les piles du nouveau pont, puis les nouveaux quais de Seine où les marcheurs/promeneurs font légion. On grimpe l’escalier du pont Guillaume le Conquérant puis on trace 3 grandes lignes droites, parfois au mépris des feux tricolores jusqu’à notre point de départ.

15H50 fin du détour par Rouen

In fine, 61 km, D+=D-=1150m pratiquement 20 km/h de moyenne roulée et des pointes à : 67.8 ; 72.6 ; 75.8 et 82.5 km/h ! Record perso battu.

Après le classique changement de vêtements, on renfloue nos provisions alimentaires. On commence par les boissons sucrées pour étancher la soif puis par la bouteille de Bordeaux de Dany. A raison d’un verre par sandwichs on a vite récupéré ce que l’on avait perdu

J'ai modifié l'ordre chronologique d'apparition des billets... On voit sur la page d'accueil les 10 derniers billets. Il est possible en cliquant sur la case du jour du calendrier de voir les billets créés le jour en surbrillance. Pareil pour les mois en cliquant sur le nom sous archive.

Gnark gnark, on peut même afficher nos propres vidéos (exemple hébergé sur un autre ftp) :

Et tout cela sans pub et autres conneries à la Skybeurk !
Bref c'est la maitrise totale...ou presque...

J'espère que la rando aux grottes de Caumont s' est bien passée, pour nous (Eric, Romain et moi) après un petit café nous sommes partis de bon matin pour une petite rando dite "gentillette" avec au programme de bonnes côtes. (Gerberoy et Songeons).

Resultats des courses; une bonne chute pour Romain qui s' est esquinté le pouce droit dans une descente herbeuse en voulant éviter un lièvre...déjà mort. (pas de rire mais déjà mort quand même).

Et pour moi une bonne casse mécanique, une patte de dérailleur arrachée fusillant ce même dérailleur.
Donc, après avoir bricolé mon LP en single speed, et que la douleur pour Romain ne s'estompait pas, on décide d' écourter la rando. On finit par 2 belles montées.

A la maison, petit nettoyage des vélos.
Suivit d' un petit ......................apéro.
Voilà, petit compte rendu de notre matinée.

Petit exemple de code pour avoir un lien sur une image en grand. C'est une imbrication de lien sur une image miniatrue.
D'abord on enregistre sur le ftp l'image en grand et sa miniature. Il est judicieux de lui donner le meme nom mais avec _t à la fin. Puis on insert une image (la miniature) dans le billet. Puis on selection la totalité de la balise IMG et on fait un lien avec l'adresse de la grande image. Ainsi en cliquant sur l'image miniature le lien nous dirige vers la grande image.

Comme cela galère un peu avec l'ordre des billets, j'ai remis, à la page d'accueil, l'ordre des billets du plus récent (en haut) au plus ancien. Les modes "jour" et "mois" dans l'ordre ASCendant. Donc dés que vous entrez dans le BLOG les billets sont en ordre chronologique inverse et quand vous cliquez dans le calendrier ou dans les archives ils conservent l'ordre chronologique que je trouve plus lisible pour les romans que certain écrive
ENJOY !

Une fois n'est pas coutume, les ordonnés du graphe sont en "heure" et pas en km car nous avons presque autant été arrété qu'a VTT !! Ti-Matt, de retour de Chamonix, nous faisait remarquer qu'il n'avait pas crevé une seul fois durant ses vacances. En effet, comme on pouvait le lire içi, le Nobby Nic est un bon pneu. M'enfin, tous cela c'était avant la petite côte après La Feuille. Pas une, pas deux, pas trois mais pratiquement 7 crevaisons à nous tous. 4 épines ont souhaité un "Welcome Home" à leur façon à notre jeune montagnard.
Avec Nicolas et Hugo on a bien rigolé.
Pas de photos donc pas de preuve si ce n'est le nouveau poids de sa roue arrière.
Il y avait d'autres nouvelles mais on attendra la semaine prochaine pour les dévoiler. Pour l'instant mystère...

Tout d'abord, boujour à vous tous !

Ca fait du bien d'avoir de vos nouvelles par le biais du net, alors félicitations aux blogueurs !

C'est à mon tour d'essayer de remplir un petit billet alors histoire de rire, vous pouvez admirer mon bike au look d'une quinzaine d'années : Un Décath TOUT RIGIDE, équipement d'origine, ( sauf les freins, passés de cantilever à V-Brake ). Tout cela pour une petite balade de 20 km aux 4 cantons.



Lors de ma dernière semaine de vacances ( ma foi fort méritées ), je fais une petite révision à mon Lapierre avant de faire un petit tour, je découvre alors un petit bourlet derrière l'amorto arrière. Je l'emmene à la boutique de Nico pour un examen approfondi mais il est en congés. Cependant le verdict vient du patron : Cadre félé........ mais j'ai le bol que la garantie termine dans un mois.



Moralité : Comme disait ma grand-mère : "Les piles Wonder ne s'usent que lorsque l'on s'en sert." alors que mon Lapierre c'est le contraire.
Car ce n'est pas les 3-4 sorties depuis un an qui l'on abimé. Même avant, je n'étais pas celui qui maltraite le plus sa machine....certains même disent que je pourrais appuyer un peu plus dessus.

je vous dis à tous à bientôt

Benoît le Gaulois

L'album photos html de la session de Caumont est en ligne.
Profitons de l'été indien pour y retourner maintenant que les éclaireurs ont fait le passage . Il faut compter un départ à 8H30 de Croisy et un retour vers les 15H sans la visite du château et vers 15H30 avec. Ces temps peuvent être revus à la hausse en cas de problèmes divers : crevaisons, casse, bikers dans les oubliettes, noyade, gap du haut des falaises, rattage de Bac, etc.

C'est une épidémie dans la région qui m'aura touché la gorge, le nez, bref : la zone ORL. Cela me fatique au point de laisser le radio-réveil sonner avant de me lever. C'est l'enfer des glaires ! Petit déjeuner, remplissage de sac à flotte et zou : à cheval. Il faut être motivé quand même pour rouler dans la brume matinale. Tiens, deux oies au val Saint Pierre, puis une biquette et 4 petits chevreuils en lisière, avec les lapins on se croirait dans un pays à la Walt Disney. Au Tronquay, un chauffard en Renault Express gris a bien failli me renverser. A Lyons je rejoins Hugo, Dany, Eric et Nicolas qui sera chargé de faire le parcours. On grimpouille devant la maison de retraite alors on se traine comme des petits vieux par solidarité. On s'enfonce dans les bois et on roule parfois tout droit ! Dany s'arrète, il y a un problème : sa cale se met en travers en dessous de sa chaussure. Elle était placée trop à gauche ce qui fait que la partie droite serrait dans le vide. Dans une cotelette, aprés Rosay sur Lieure, c'est la cale de la 2ème chaussure qui pose problème suivit d'une .... crevaison. Heureusement Dany ne se déplace jamais sans son "staff mécanique" composé de Nicolas et Eric. Un peu plus loin en observant son dérailleur on se demande si la chaîne posséde suffisament de maillons car il est droit comme un I. En fait c'est l'axe qui est complétement coincé probablement par l'accumulation de terre à l'intérieur. Une révision s'impose. Crevaisons et Forêt de Lyons sont étroitement liées, je l'ai appris à mes dépends avec un trou de silex de 5mm de long. Heureusement qu'il n'y avait personne derrière car il aurait été repeint en vert par le liquide préventif. Une rustine façon "oldies" et un morceau de bande anti crevaison comme emplatre et on repart. A la fontaine Sainte Catherine petit concours de "côte impossible". Ouais, j'ai gagné ! Pas de mérite, Philippe le challenger n'était pas là... Tandis que Dany et Eric se tataient pour franchir un trou dans le lit de la rivière Fouillbroc, on perd Nicolas et Hugo. Nous n'avions pas suivi les bons VTTs. On fait demi-tour et on longe la rivière jusqu'à la source. Encore une petite côte avec double effet "Kiss Kool" qui posera problème pour deux d'entre nous. Je ne veux pas balancer mais on constatera une fois de plus la supériorité des tout-suspendus Pour les chutes aussi les SR sont en pleine forme. Dany ouvre le bal et Nicolas qui compatissait en se marrant comme une baleine finira façon "tortue". On commence à reboucler vers Lyons puis ce fut au tour d'Hugo de rouler en basse pression...et de trois ! J'en profite lachement pour remettre un peu de pression dans mon pneu, vous savez : 1,2,3....,50. De retour aux "Maisons Blanches", Nicolas décide de rentrer par le goudron. Je dis à Dany : "Regarde le, il récupère pour nous allumer dans la descente". "Moi, noooon." répond-t-il. Menteur, 200 mètres plus loin il lance les hostillités, puis je passe devant, Dany me double en pédalant à fond puis c'est au tour d'Eric à plat ventre sur son cadre qui prend la tête sans pédaler ! On remballe le matériel et on discute un peu avec Marie-Hélène et son mari en tenue de pompier, avec qui on roulait un peu il y a plusieurs années déjà. Pas cool, ils manquent de volontaires. Ils ne sont que 4 pour la caserne de Lyons. Je rentre avec Nicolas et je finirais avec 50km au compteur à Croisy. Album photos.
L'idée du jour c'est de faire le parcours de la Translovèrienne (départ de Pont de l'Arche) en comité restreint (~40km, D=650m). Qu'en pensez vous ?